1931-1940 - Bréhec & Lanloup en un siècle

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1931-1940

Veuve Couée, Glo-Couée, Arthur H.S.P.
Les dernières cartes postales Couée dans les années 30, mais pas d'Auguste puisqu'il est décédé en 1924. En effet, certaines rééditions de ses cartes ont la mention Veuve Couée. Ces cartes des années 30 deviennent Photo A. Couée, d'autres sont rééditées Collection Arthur, tandis que certaines portent la mention Glo-Couée au dos.
10 cartes

Commentaires
Plus de commentaires détaillés à suivre sur les cartes Couée, des clichés que l' on retrouve édités avec la mention Veuve Couée, Photo Rapide, Arthur H.S.P. et Glo-Couée, ce qui me complique diablement la tâche. J'espère que l'examen des recensements lorsqu'ils seront en ligne me permettra d'y voir plus clair.
La carte n⁰ 634 est à comparer avec la n⁰ 9683 d' Hamonic puisque seul le muret est présent mais pas encore le boulodrome et la tonnelle de l' Hôtel de la Maison Blanche. Si la route de la Corniche est bien présente, on voit que le terre-plein n'a pas encore fait l'objet d'un aménagement. La suivante, celle de la maison Le Page sur la carte n⁰ 635, offre un témoignage de l' emplacement originel du GR34, ou sentier des douaniers,  qui faisait la liaison entre Bréhec et le Vieux-Bréhec, et longeait le mur imposant de la propriété. Cette série référencée 63x date sans doute du tout début de la décennie puisque la carte postérieure n⁰ 656 de l'Hôtel Beau Rivage a circulé en 1932.
Enfin, notons que la carte n⁰ 681 est la seule que je connaisse où l'on voit la pension de famille À l'abri de la tempête, qui ouvrit ses portes en 1936. À l'origine, cet établissement est tenu par Monsieur Pierre, qui a épousé Mademoiselle Francine Alanet. Cette dernière se remariera avec un Monsieur Rougé et revendra la pension de famille à Joséphine Hamon en 1947, laquelle tiendra l'établissement jusqu'au début des années 70. D' après ma mère, j' y ai passé mes premières vacances bébé (je salue au passage Maurice et Nicole Hamon qui habitent toujours là). Ci-dessous, la coupure de presse du 24 mai 1936 parue dans Le Populaire. Un peu de licence artistique de la part de Monsieur Pierre, qui situe son établissement à 100 m de la mer! Sur la photo transmise par sa petite-fille, Francine Alanet en tablier à droite.
Publicité pour À l'bri de la tempête
Francine Alanette, patronne d'À l'abri de la tempête
Émile Hamonic
Les dernières cartes postales au nom d'Émile Hamonic, contemporaines de celles publiées par son fils, Amaury, sous son propre nom.
34 cartes

Commentaires
Il est connu que le fils d'Émile, Amaury, reprend le flambeau en 1922. Il est donc vraisemblable que ce soit lui qui ait pris les clichées des années 30. Notez que les quatre premières cartes de cette série (7621-7629) sont des réimpressions de cartes déjà publiées au cours de la décennie précédente mais présentées dans le nouveau format avec cadre que la société utilise à ce moment-là.
La carte n⁰ 9408 est intéressante car elle montre que la famille Porcheron, propriétaires de l' Hôtel Beau Rivage, a loué à Monsieur Guillerm le Café de la Gare, comme indiqué au bas des marches, qui fait également épicerie. Mais... Monsieur Guillerm n'était-il pas déjà occupé à gérer l'hôtel éponyme situé au bas du viaduc ? Et bien non! Alors, pourquoi? Cette question est longtemps restée sans réponse jusqu'à ce que je trouve un arrêt de la 1ère chambre de la Cour d'appel de Rennes du 8 mai 1929 intitulé Guillerm c/ Veuve Gouarin, concernant une affaire de résiliation de bail pour non paiement des loyers. Cet arrêt fournit des informations qui m'ont permis de vérifier certaines données. Monsieur Guillerm est locataire, qui a signé comme preneur un bail de 9 ans le 9 août 1919, rédigé par Maître Dauphin, notaire de Plouézec. Est également précisé dans l'arrêt que l'acte du 9 août 1919 contenait vente par les consorts Gouarin à Guillerm du fonds de commerce de restaurant et de débit de boissons dénommé Hôtel de la Plage que la veuve Gouarin exploitait. Voilà donc qui confirme que l'Hôtel de la Plage a bien été construit par les époux Gouarin et que F. Guillerm a géré l'hôtel de 1919 à 1928. Il reste donc la question d'en savoir plus sur l'Hôtel Guillerm et son Restaurant Parisien situé au pied du viaduc. Toujours est-il que ce Monsieur Guillerm se retrouve à tenir le café de l'Hôtel Beau Rivage au début des années 30.
La carte n⁰ 9432 est un cliché tiré avec deux légendes différentes. Celle intitulée La Falaise écroulée à la Pointe de la Tour nous permet de voir qu'en 1930, les fameuses grottes imposantes au niveau de leur hauteur, que Barat appelle en 1905 Grotte des diamants, Grotte de marbre et Grotte du Peintre Hamon ont déjà souffert pour certaines d'un éboulement, notamment celle dite du Peintre Hamon, que la carte n⁰ 9433 désigne maintenant sous le terme Grotte à pilier. Une vue à comparer avec celle de la carte n⁰ 353 de Barat dans la section 1901-1910. D'ailleurs, Couée ne photographie que les deux premières dans les années 20, ce qui veut peut-être confirmer que cet éboulement s'est produit durant cette décennie.
La carte n⁰ 9551 nous fournit une vue de la plage prise du port. On constate que le chemin menant à la digue a été élargi et que le muret avec son parapet rond facilite désormais l'accès des piétons. Cela restera inchangé jusqu'en 1975 et les travaux d'agrandissement de la digue et du perré. La carte n⁰ 9680 montre combien il y avait de roches mauves au niveau du port. Dans la même série, la carte n⁰ 9683 nous permet de voir le boulodrome tout neuf de l'Hôtel de la Maison Blanche avec sa tonnelle.
Je possède deux versions de la carte n⁰ 9724, avec ou sans mention de l'Hôtel de la Plage. Les cartes n⁰ 9722, 9723 et 9724 semblent donc être des clichés dont Hamonic s'est servi pour réaliser des cartes publicitaires proposées à l'hôtel, tenu à ce moment-là par la famille Dévécédavi (qui prend sans doute la suite de Guillerm en 1928 et/ou rachète l'hôtel à la Veuve Gouarin). C' est donc elle qui a fait construire le cour de tennis vu sur la carte n⁰ 9723 puisqu'il n'apparaît pas sur la carte n⁰ 9679 Vue générale prise du Viaduc. Ce cour de tennis est un exemple de la montée en gamme de l' Hôtel de la Plage, déjà titulaire du numéro de téléphone 1 à Lanloup.
Enfin, on note quelques éléments surprenants dans cette dernière série. La carte n⁰ 9784 classe l' Anse Cochat, c'est-à-dire la plage Bonaparte, depuis son nom de code conservé après-guerre, à Bréhec, ce qui est bien sûr une erreur. Deuxièmement, il existe deux versions des cartes n⁰ 9785 et 9786, dont l'une nous montre le nouveau muret du chemin d'accès à la digue.
Amaury Hamonic
Les premières cartes du fils d'Émile qui commence à produire sous son propre nom à partir de 1922. Bon nombre sont des rééditions de cartes numérotées Hamonic, la référence se situant au dos de la carte.
25 cartes
Commentaires
Les cartes signées Amaury sont a priori des retirages de clichés Hamonic. S'il existe certaines vues non présentées dans le diaporama précédent, c'est sans doute que ces clichés font partie des trous dans la collection Hamonic du diaporama ci-dessus. Cette série de cartes est indicative d'un nouveau format qui commence à être adopté par les éditeurs de cartes postales, à savoir l'absence de numérotation, voir même de légende, sur le verso des cartes, ainsi que le passage de la mention de l'éditeur et de la légende au recto des cartes. C'est notamment le cas pour la quasi-totalité des cartes postales présentées dans la section 1941-1950, et des cartes des décennies ultérieures.
Armand Waron
Une production très volumineuse dans les années 1930 sur Bréhec et Lanloup. Et il en manque encore pas mal!
92 cartes en 3 diaporamas

Diaporama série 700 à 759
Diaporama série 5560 à 5604 + 1 carte
Diaporama autres numérotations
Commentaires
Pour rappel, la biographie très complète d' Armand Waron est disponible via le menu 'Les éditeurs' ou en cliquant ici.
Classification des cartes
J'ai longuement hésité sur la place des cartes Waron au niveau de la classification par décennie. Nous avons vu dans la section 1921-1930 qu'il réalise une série de cartes pour le café-tabac Tassel de Plouézec et que cette dernière date de 1930 au plus tard d'après les dates de circulation observées, ce qui justifie sa présence dans cette section précédente du site. La présentation est identique à celles des cartes de ces diaporamas sur Bréhec et Lanloup avec une mention La Bretagne Pittoresque utilisée depuis 1903. La tâche se complique du fait que Waron réalise au moins trois séries, puisque les cartes du dernier diaporama ont divers types de légende, ce qui est expliqué infra. Les commentaires sont donc présentés de manière à correspondre au diaporama concerné.
L'explication de la présence de ces cartes, surtout de la deuxième série, dans cette décennie est que je n'ai jamais vu de date de circulation de ces cartes avant 1933 pour le premier diaporama, et 1931 pour le deuxième. Certes, une preuve tout au plus empirique. L' autre conclusion de l'examen attentif de ces cartes est que si la numérotation des cartes est consécutive, la date de prise des clichés ne peut l'être. Pour simple preuve, prenons pour comparaison les cartes n⁰ 5570 et n⁰ 5604 qui prouvent que le petit bâtiment où Jeanne-Louise Le Quellec vend des bonbons, pâtisseries et billets pour Bréhat est en bois sur la première, et en béton sur la deuxième. Au final, c' est un point de détail que cette classification au sens où toutes les cartes postales Waron présentées ici sont représentatives des années 30 à Bréhec et Lanloup.
Diaporama n⁰ 1
La carte n⁰ 700 est réminiscente du cliché Hamonic pris à partir du porche de l'église. En arrière-plan, le bâtiment qui est aujourd'hui l'emplacement de la mairie de Lanloup est encore le presbytère. Pour une présentation détaillée de l'histoire de l'église, des saints de son porche, de ses statues, voir le fascicule de l'abbé Jean Le Floc'h en bas de la page Infos sur Lanloup ici.
La carte n⁰ 720 nous montre la halte de Bréhec, un type de petite construction standard que l'on retrouve utilisé pour tous les arrêts du Petit Train entre Saint-Brieuc et Paimpol. Cette carte montre que la route de la Corniche est encore très étroite puisque l' on aperçoit le balcon en béton de la terrasse de l' Hôtel Beau Rivage à droite. Une vue à comparer à celle de la carte n⁰ 656 de Couée supra. La maison Le Page figure en contrebas.
La carte n⁰ 740 est la seule de toute ma collection qui montre le tennis de l' Hôtel de la Plage sous cet angle, ce qui permet de bien visualiser son emplacement sur ce qui est aujourd'hui le bâtiment de l'école de voile. Le terre-plein indique que le Kergolo n' est plus à ciel ouvert dans cette partie de Bréhec (il l' est encore plus en haut en arrivant de Lanloup) mais sa sortie est encore au milieu de la plage, comme le montre la carte n⁰ 724.
De la carte n⁰ 727 à la n⁰ 735, l'orthographe est parfois erronée, notamment pour les cartes dépeignant le Petit ou Grand Minerouse et la Grève de Pors-Pine!
La carte n⁰ 743 témoigne de l'existence de seulement deux maisons en sus de l' hôtel. Proche de la passerelle de la halte, la maison Crance et la maison Tout-là-haut des Gabelle qui sera détruite par les Allemands en 1943 lorsque ces derniers installeront leur DCA (Défense Contre l' Aviation) sur son terrain. On y voit également la balustrade en béton de l' Hôtel de la Plage, d' où est pris le cliché de la carte n⁰ 748.
Du n⁰ 755 au n⁰ 759, les cartes nous offrent un bel aperçu d' ensemble de Bréhec à cette époque, avec le détail de la traversée du viaduc, du chemin de la digue, et de l' arrivée sur la plage avec son terre-plein central, boulodrome, tennis...
Diaporama n⁰ 2
Notons tout d'abord deux choses : la 5580 bis est en fait l'église Notre-Dame de Binic, donc une erreur de légende ! La première carte du diaporama est antérieure, et peut-être même de 1929 ou 1930, mais on y voit les falaises de Bréhec, d'où sa présence ici.
Cette deuxième série commence par de nombreux clichés pris au Vieux-Bréhec des diverses grottes des falaises. Certains clichés sont uniques car les photographes des précédentes décennies avaient pour habitude de prendre leurs clichés depuis l'intérieur de la grotte. Waron est le premier qui montre également l'entrée. Notons l' apparition de nouveaux noms, la Grotte des Fées et la Grotte des Nains.
L'automobile des cartes n⁰ 5570 et 5571 est une Peugeot 201 (1929-1937), similaire à celle du diaporama ci-dessous (© De Croon Classics), c'est-à-dire en version non pas berline, ni cabriolet d' ailleurs, mais découvrable selon la terminologie de l' époque.
Je ne serais d' ailleurs pas surpris s'il ne s'agissait de la voiture personnelle d'Armand Waron, sachant d'après mes recherches sur sa biographie qu'il était féru d'engins mécaniques et qu'il fit partie des premiers conducteurs des Côtes-du-Nord. Voir la page 3 de sa biographie ici. Nous sommes dans les années 30, la voiture est sortie en 1929, et Waron est à ce moment-là un éditeur affluent qui a sans doute les moyens de se l' offrir ; il ne serait pas étonnant qu'il n'ait remplacé sa vieille Ader 1902, et peut-être plusieurs fois déjà.
La carte n⁰ 5573 existe en deux exemplaires, dont un en tant que carte publicitaire pour l'Hôtel de la Plage. C'est cette dernière qui m'a permis de confirmer que le premier numéro de téléphone attribué à Lanloup le fut à l'hôtel.
Les cartes n⁰ 5579, 5580, 5585 et 5586 m' ont aidé à dater la construction du chemin menant à la digue grâce à la comparaison faite avec la carte n⁰ 756 du premier diaporama. Sue ces cartes dont le cliché est estimé avoir été pris en 1931, pas encore d'élargissement du chemin alors qu'il apparaît dans l'autre série. Vu la date de 1933 de cette dernière, on peut donc estimer la date de construction du mur de retenue du nouveau chemin au début des années 30, peut-être 1932; en tout cas dans les deux ans qui semblent avoir séparé les deux séries de clichés. Cette construction doit sans doute être la raison de la mention présente sur la carte n⁰ 5585 les roches sont déchiquetées, écrite par une personne a priori mécontente de cet élargissement. Date à vérifier en consultant les archives de la mairie de Plouézec où le sujet fut sans doute débattu. Et toujours pas de muret sur la dernière de cette série, la n⁰ 5604.
Ma décision de prendre 1931 comme date de prise des clichés par Waron repose également sur l' examen des cartes suivantes. Sur la carte n⁰ 5582, l'Hôtel Beau Rivage semble encore être en construction. Les cartes n⁰ 5583 et 5584 montrent l' existence du muret de l' Hôtel de la Maison Blanche mais sans boulodrome, ni tonnelle. Et contrairement aux cartes du premier diaporama, notamment la n⁰ 740, le Kergolo est toujours à ciel ouvert.
Les deux dernières cartes de ce diaporama sont sans doute des cartes publicitaires pour l'Hôtel Beau Rivage, ce qui explique l'absence de numérotation sur le verso. De nouveau la présence de la Peugeot 201, ce qui renforce l'idée qu'il s'agit du véhicule personnel d'Armand Waron.
Diaporama n⁰ 3
Peu de commentaires à faire concernant les cartes de ce diaporama. Si certains clichés sont présents dans les collections précédentes, quelques vues sont uniques, mais cela peut résulter du fait qu'il manque des cartes dans les deux précédents diaporamas d'après la numérotation des cartes en ma possession. La numérotation des cartes de ce diaporama ne suit pas du tout la convention Waron utilisée jusqu'alors puisque les mentions d'éditeur et les légendes figurent au recto des cartes. L'éditeur étant maintenant localisé à St-Brieux—Orléans, ces cartes sont des retirages des années 40 et les numéros prennent la forme 5.589 pour le cliché identique que l'on retrouve sous le n⃓ 5589 ci-dessus. Les quatre dernières cartes ont pour numérotation de SW-10-001 à 004 mais sont bien des clichés des années 30 puisque la maison des Gabelle Tout-là-haut, détruite en 1943, est présente sur le premier cliché de cette série, et que la dernière carte reprend le cliché de la carte n⁰ 756 du premier diaporama.
Compagnie Alsacienne, Pâtisserie Gilbert,
Photo-Rapide
Clichés divers dont une carte intéressante de la Noé Verte.
4 cartes
Commentaires
Travail de recherche à effectuer sur la Pâtisserie Gilbert ainsi que sur Photo-Rapide, deux éditeurs de Plouha. Pour Photo-Rapide, il semble que cela soit le successeur du magasin photo d'Auguste Couée qui serait situé en bas de Plouha où il y avait la gare de transit, le garage Ford actuel, sauf que l'on trouve également des clichés Veuve Couée dans les années 30 avec la mention « Collection Arthur H.S.P.». Ma mère se souvient, petite, avoir entendu que du temps où le train circulait de Saint-Brieuc à Paimpol, il y avait un arrêt à Plouha embranchement d'une bonne vingtaine de minutes pour la maintenance de la motrice (eau et charbon). Durant cette attente, les voyageurs allaient apparemment voir les photographies et cartes postales du magasin photo situé proche de la gare.
La pâtisserie Gilbert est sans doute le magasin qui succéda à la pâtisserie Couée. Les cartes postales Gilbert sont en fait des clichés Thiriat-Basuyau, célèbre éditeur toulousain spécialisé dans l'approvisionnement des magasins en cartes postales locales. On retrouve des clichés Thiriat-Basuyau à l'origine de cartes postales vendues par d'autres commerçants de Plouha tels le tabac Héloury-Cotard. Vous pouvez voir quelques originaux de certains de ces clichés dans la collection Lacombe, section photo des années 20 du menu 'Les anecdotes'.


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